Joseph Finkelsztajn
Né en 1959 à Paris. Vit et travaille à Paris.

” J’ai commencé à peindre en 2011, après un voyage nostalgique à Pietra Santa, en Toscane, où j’avais vécu quelques temps dans ma jeunesse chez un ami peintre Carlo Leali Emmanuele. Il ne peignait que des chevaux : bel animal noble. C’est un petit village, près de Carrare, où des sculpteurs du monde entier viennent pour travailler le marbre. Les galeries d’art y sont devenues si nombreuses,  et tout d’un coup, en les visitant, j’ai eu le désir, incroyable et inattendu pour moi, de commencer à peindre.

Aussi, dès que je suis rentré à Paris, j’ai commencé la peinture à huile avec Gilles Fourgassier (à Paris -Ateliers) et j’ai alors été pris de passion pour la peinture. Après deux ans avec lui, j’ai rejoint de 2014 à 2018, un atelier de peinture acrylique avec Jean François Courteaux, aux Ateliers des Beaux-arts de la Ville de Paris.

Depuis 2018, j’ai intégré l’atelier d’Antoine Petel (toujours aux ateliers des Beaux-Arts de la Ville de Paris, à Montparnasse).

Mes peintres favoris et qui m’inspirent sont Cézanne, Gauguin, Chagall, Klimt, Kandinsky, Max Ernst, les surréalistes, Léonor Fini, Alain Kleinmann…

Je me considère comme un peintre symboliste, car j’utilise souvent des symboles, juifs, ésotériques, astrologiques, mystiques, ou philosophiques, dans mes travaux artistiques et car je suis en recherche perpétuelle d’un sens à la vie, qui n’existe peut-être pas ! Pour moi,  la création est un moment libérateur, où l’inconscient parle et où le travail consiste à laisser l’inconscient s’exprimer, à faire surgir les souvenirs d’enfance, les émotions refoulées ou non exprimées, afin de se libérer intérieurement. 

Ma peinture est engagée aussi, pour la liberté, notamment pour celle des Roms en Europe, et contre toute forme d’injustice et d’inégalité. Pour moi, la peinture est un engagement, et certaines œuvres sont censurées lorsqu’elles dérangent le ou les pouvoirs, politiques, religieux, médiatiques.

J’aime peindre des musiciens, des familles musique, des femmes musiques, de la musique, car la musique est, pour moi, le langage universel et immédiat, qui parle aux  sens directement,…. et une passion de ma vie !”

Expositions personnelles et collectives :